Ma soirée du 10 janvier 2008 avec le couple "gentlemant et Objet"
Comme prévu, je téléphone à Monsieur dès mon arrivée à la station de métro
afin qu'il vienne me chercher en voiture. Il est 19h40 et il me fait remarquer
que je suis impatiente ; il attendait mon coup de fil 10 min plus tard.
A 20h10, la voiture de Monsieur arrive. Objet est assise à l'arrière et me
découvre. Elle semble surprise et ravie. Monsieur est un homme d'une
cinquantaine d'années. Je suis frappée par ses yeux rieurs. Je lui trouve le charme
d'Objet ; sûrement l'effet d'un mimétisme. Je me sens un peu tendue par cette
nouvelle situation et, parfois, Monsieur pose sa main sur mon genou que
découvre mon imperméable. Monsieur m'avait prévenu qu'il aime toucher les
femmes.
Objet n'est pas au bout de ses surprises car d'autres l'attendent. Nous arrivons près de la Porte de la Villette. Monsieur se gare et somme Objet de descendre pour rejoindre la voiture de son dresseur qu'elle reconnaît. C'est a mon tour d'être surprise. Monsieur souhaite qu’Objet pense que je passerais la soirée seule avec lui. Malgré ses efforts, je perçois chez Objet la déception de nous quitter. Monsieur cherche t-il a faire naître chez Objet des sentiments pénibles comme la jalousie ?
Avant notre arrivée au Quai 17, Monsieur désire me faire lire le dernier message qu'Objet lui a écrit. tous les jours, Objet correspond avec son Maître. Je le lis puis le remercie. Il désire que je prenne connaissance de cette correspondance intime pour constater à quel point Objet est une femme intelligente et cérébrale. Certes, Objet a un réel talent littéraire et je l'avais déjà constaté. Je découvre également la fierté de Monsieur pour sa soumise.
Monsieur me confie qu'il a missionné Objet. Avant la fin de l'année 2008, Objet devra m'offrir a son Maître. Je suis surprise et embarrassée car, du coup, je me sens responsable et j'imagine la punition qu'Objet subirait en cas d'échec. Je préfère garder le silence.
Nous arrivons au Quai 17. Objet et son dresseur nous rejoignent quelques
minutes plus tard.
La soirée est très agréable ; un buffet et du champagne nous attendent. J'ai
l'impression d'être très observée par Monsieur et le dresseur. Je me sens à mon
aise mais en même temps bouillonnante. Je réponds avec force et passion aux
questions qu'on me pose et Monsieur me le fait remarquer. J'ai alors le
sentiment qu'Objet et moi sommes très différentes. Autant, j'aime parler ;
autant, elle, elle préfère se taire. Objet est à genou, prosternée, devant son
Maître alors que moi, je suis assise sur un canapé.
Au cours de cette soirée, je comprends que nous serons les seules femmes du club pour satisfaire une quinzaine d'hommes. Monsieur perçoit ma déception ; il n'y aura pas d'ambiance sans initiative de notre part. Mais Objet doit rester passive et attend qu'on lui dicte sa conduite. Aussi est ce sur moi que repose la couleur de la soirée.
Je contiens ma timidité et me lance sur la piste de danse. J'ôte ma jupe. Je
ne porte pas de culotte. Mon sexe découvert, je me mets à danser pour attirer
les hommes qui accourent. Monsieur à une idée lumineuse. Il me demande de
choisir les queues pour objet.
J'allume donc les hommes en leur offrant le spectacle de ma chatte. Je
m'accroupis sur la piste de danse et mes hanches scandent des mouvements de va
et vient. 4 puis 5 puis 6 hommes m'entourent et déjà certains ont la bite
dressée. Je touche les queues et parviens à en choisir 2 pour Objet que
Monsieur entraîne vers un salon très sombre abritant un cinéma porno.
Objet, docilement, se met à 4 pattes, la croupe offerte, suce le premier et
accueille le second dans sa chatte. Une fois les couilles vidées, je choisis 2
autres hommes parmi ceux attroupés autour d'elle se régalant du spectacle.
Objet suce à nouveau et cette fois se fait sodomiser.
J'ai besoin de proximité avec Objet et j'ai envie de l'encourager dans son
ouvrage. Je lui caresse le dos et les fesses. J'essaye d'être la plus douce
possible. J'adore veiller à son intégrité physique. Cependant, les hommes
s'enchaînent et je leur attribue un des trous d'Objet. J'aime m'exécuter et
rendre ce service à Monsieur.
Je suis fascinée par la docilité sexuelle d'Objet. Elle s'exécute pour son
Maître. Le plaisir de Monsieur semble sa seule motivation.
J'éconduis poliment les hommes qui me proposent leur sexe. Monsieur s'approche de moi, me regarde fixement dans les yeux, glisse sa main sous ma jupe, attrape mon sexe et me demande ce qui me ferait plaisir sexuellement. je lui réponds : rien. "et une femme ? me dit-il en désignant Objet. Je fais signe que non de la tête. Le dresseur d'Objet regrette alors ma liberté. Mais j'explique qu'en l'absence de Maître, je préfère m'abstenir. Selon moi, ces jeux libertins sont excitants à cette condition.
Je reprends la laisse d'objet car Monsieur est satisfait et souhaite se désaltérer au bar. Je contrains objet de danser. J'ai envie de libérer ma sensualité. J'ôte la jupe d'objet et l'oblige à s'exhiber ainsi. Je touche son corps, ses seins. Elle se laisse faire, tente quelques caresses que je repousse. Je préfère la cambrer pour lui caresser le clitoris. Mes doigts pénètrent sa chatte qui mouille abondamment. Son jus coule sur la piste de danse et son vagin s'ouvre. Son ventre avale ma main puis la rejette. Je sens ses contractions. Objet est très excitée et regrette ma décision d'interrompre ce jeu.